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vendredi 23 janvier 2009

Islamisme et Sionisme dos-à-dos



...Dans le monde politique, les choses ne sont jamais ni entièrement fausses ni entièrement vraies, ni entièrement blanches, ni entièrement noires...

D'où l'importance de diversifier ses sources d'information, afin de découvrir ces faits importants que nos « médias » passent sous silence pour des raisons obscures...

Il me fait plaisir de vous faire partager une recherche que je poursuis sur l'Islam afin de pouvoir mieux comprendre la situation explosive que nous observons dans le Monde, une situation aggravée par l'ignorance profonde des occidentaux en ce qui touche les ressorts de l'Islam.

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Il importe d'aller aux sources, et les principales sont les références musulmanes elles-mêmes, surtout le Coran. On a la chance de trouver toutes ces sources dans l'internet.

Le Coran en français et en version presque intégrale en ligne au site Harun Yahya.
On peut aussi le télécharger en version pdf au site http://islamfrance.free.fr/coran.html .

Des définitions importantes au site de l'Université Laval :

(...)
Ses bases

La Charia est basée sur quatre principes ou racines (usul) : le Coran, les Hadiths de la Sunna, l'Ijmà (les consensus de la communauté orthodoxe) et le Qiyas (méthode de raisonnement par analogie).

Le Coran

Le Coran est, pour les Musulmans, la parole même de Dieu. Bien qu'il contienne des règles destinées à la première communauté sur des questions comme le mariage, le divorce ou l'héritage, il ne formule aucun principe général. De nombreuses questions sont traitées de manière superficielle, et un nombre encore plus grand de questions vitales ne sont même pas abordées.

La Sunna


La Sunna désigne les coutumes ou la manière de vivre des musulmans, selon l'exemple des actes et des paroles du Prophète, ou encore ce qui
a été fait ou dit en sa présence, et ce qu'il n'a pas interdit. La Sunna fut enregistrée dans les Hadiths. Pour les musulmans, la Sunna complète le Coran et elle est indispensable à sa compréhension, pour clarifier ses imprécisions ou pour combler ses silences. Sans elle, les musulmans n'auraient plus aucun repère pour régler les menus problèmes de leur vie quotidienne. Le Coran et la Sunna sont l'expression des commandements divins, la volonté irrévocable et impénétrable d'Allah, à laquelle on doit obéir, sans hésitation, sans question ni réserve.


Étant donné leur imprécision intrinsèque, nous avons toujours besoin d'interpréter la Sunna et le Coran; c'est la fonction de la Charia. Les docteurs de la loi s'appelaient les faqihs. Ils fondèrent plusieurs écoles d'interprétation, dont quatre survivent encore aujourd'hui et se partagent la population des musulmans orthodoxes sunnites. Assez curieusement, les interprétations divergentes de ces quatre écoles sont reconnues à égalité valable.

On peut connaitre une foule de détails sur les pratiques de cette religions au site suivant : « Connaître l'Islam ». On peut y trouver des détails qui font parfois sourire, ceux-ci par exemple : « Comment apprendre à faire ses ablutions et la prière ?». On constatera qu'il s'agit d'une « mécanique » qui semble exclure toute spiritualité...

Toutefois, l'étude de la Cachérouth juive (la cachérisation) peut aussi étonner certains ! Dans beaucoup de cas, il a été démontré qu'il s'agit de simples règles d'hygiène qui permettent de se protéger contre diverses maladies et se distinguer des peuples environnants. Chez les Juifs, même le lavage de la vaisselle doit se faire selon les préceptes cachères : voir clic. À mon humble avis, il s'agit là encore de règles d'hygiène doublée d'un respect de la nature : laver avec de l'eau bouillante et très peu de détersif on lave plus propre en polluant moins (il faut noter que la plupart des gens utilisent au moins 4 fois trop de détersif pour le lavage)... Voir clic, aussi clic.

Depuis le temps que je lis des pages du Coran et que je fréquente des sites musulmans, j'avoue être assez perplexe devant ce que j'y trouve. La notion de «tolérance» qu'on y voit est assez particulière et ne vaudrait qu'entre musulmans... On peut comprendre que ceux qui suivent à la lettre certaines sourates se pensent justifiés de tuer les incroyants. Par exemple :
Sourate 5-51 - ô les croyants ! Ne prenez pas pour alliés les Juifs et les Chrétiens; ils sont alliés les uns des autres. Et celui d'entre vous qui les prend pour alliés, devient un des leurs.

Sourate 9-5 - Après que les mois sacrés expirent, tuez les associateurs [*] où que vous les trouviez. Capturez-les, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade. Si ensuite (?) ils se repentent, accomplissent la Salat et acquittent la Zakat, alors laissez-leur la voie libre, car Allah est Pardonneur et Miséricordieux.

Comment des morts peuvent-ils se repentir ?...

[*] Ceux qui associent trois personnes en Dieu... Quelle miséricorde !

Dans http://www.gpii.precaution.ch/?p=34 on peut lire ce qui suit qui n'a rien de rassurant :

(...) Premier fait fondamental: Muhammad ibn Abdallah ibn Abd al-Muttalib (570–632), le prophète de l’Islam, fut un homme de guerre. Il dit à ses partisans de se battre pour sa nouvelle religion. Il déclara que leur dieu, Allah, leur avait ordonné de prendre les armes. Et Mahomet, qui n’avait rien d’un général en chambre, prit part à de nombreuses batailles. Ces faits doivent être connus si l’on veut réellement comprendre la cause des croisades des temps passés ou de l’essor du djihad mondial actuel.

Au cours de ces batailles, Mahomet formula de nombreux principes que les Musulmans ont respectés jusqu’à nos jours. Ainsi, il faut rappeler certaines caractéristiques des batailles de Mahomet pouvant apporter un éclairage indispensable sur le contenu des gros titres de la presse d’aujourd’hui – un éclairage qui manque encore, hélas, à de nombreux analystes et experts.

Mahomet l’assaillant

Mahomet avait déjà l’expérience du combat avant d’assumer le rôle de prophète. Il avait participé à deux guerres locales opposant sa tribu de Koreish et leurs voisins rivaux, les Banu Hawazin. Mais ce n’est que plus tard qu’il adoptera son rôle spécifique de prophète guerrier. Après avoir reçu la révélation d’Allah par l’intermédiaire de l’ange Gabriel, en 610, il commença à prêcher dans sa tribu le culte du Dieu unique et sa mission de prophète. Mais il fut accueilli fraîchement par les Mecquois koreishites, qui réagirent avec dédain à sa vocation de prophète et refusèrent de renoncer à leurs dieux. La frustration et la rage de Mahomet grandirent jusqu’à devenir manifestes. Et lorsque même son oncle, Abou Lahab, rejeta son message, Mahomet le maudit, lui et son épouse, en des termes violents qui ont été conservés dans le Coran, le livre saint de l’Islam: «Que périssent les deux mains d’Abou Lahab! Et que lui-même périsse! Ni sa fortune ni ce qu’il a acquis ne lui serviront à rien. Il brûlera dans un feu ardent, de même que sa femme, chargée de bois, une corde autour du cou.» (Coran 111:1–5).

Comme l'auteur s'appuie sur des textes musulmans, on doit pouvoir le croire. Curieusement, le texte de cette dernière sourate n'est pas reproduit dans le Coran du recteur Boubakeur (clic), mais on le trouve au site clic. Il est probablement trop violent :

1. Que périssent les deux mains d'Abu-Lahab et que lui-même périsse.

2.
Sa fortune ne lui sert à rien, ni ce qu'il a acquis.

3.
Il sera brûlé dans un Feu plein de flammes.

4. D
e même sa femme, la porteuse de bois,

5.
à son cou, une corde de fibres.

Il devient alors difficile de croire ce qu'on peut lire au site www.islamdenonceterrorisme.com/ qui veut nous convaincre que l'Islam est une religion de paix et de fraternité...:

Pour un rappel historique concis de la progression de l'Islam depuis l'an 618, voir :
Petite leçon de Coran pour le Docteur Boubakeur et autres illusionnistes
Voir
clic
  • 618 : massacre des ennemis à la bataille de Bu’ath
  • 622 : Mahomet "reçoit" le verset : "tuez les infidèles où vous les trouverez..."
  • 622 : Sad fils d’Abou Waqqash lance la première flèche tirée par un musulman
  • 623 : combat de Nakhla ; premières morts violentes ; quatre bédouins tués par huit musulmans
  • 623 : mahomet aurait construit une mosquée à Médine en exhumant les sépultures d’infidèles
  • 623 : meurtre d’Amrou ben Al Hadhrami chef de caravane : premier tué notable par les musulmans
  • (...) Suite : clic
Parmi les nombreux faits qui illustrent la notion particulière de « tolérance » des intégristes ou orthodoxes musulmans, en voici un :

ONU : Le Haut Responsable sur la liberté religieuse s’inquiète pour le sort des bahá’ís d’Iran

NEW-YORK - ONU - 20 mars 2006 – Les déclarations d’un haut responsable de l’ONU sur des manœuvres engagées par le gouvernement iranien contre les bahá’ís d’Iran n’ont pas manqué d’inquiéter aujourd’hui les représentants de la Communauté internationale bahá’íe.

Mme Asma Jahangir, Rapporteur spécial de l’ONU sur la liberté de religion et de conviction, a déclaré dans un communiqué de presse diffusé ce jour qu’elle était gravement préoccupée par « une lettre confidentielle envoyée le 29 octobre 2005 par le chef d’Etat major des forces armées iraniennes à un certain nombre d’organes de l’Etat. »
(...)
Des stations de radio et de télévision se sont associées à la campagne en diffusant des programmes calomniant les bahá’ís et leurs convictions. En outre, l’influence grandissante dans les cercles gouvernementaux iraniens de l’organisation anti-bahá’íe, Hojjatieh, dont l’objectif principal est la destruction de la Foi bahá’íe, ne peut qu’accroître notre inquiétude vis-à-vis de cette communauté assiégée.

Source : clic


Dans « Benoît XIV, Oriana Fallaci et le Liban », on peut lire un texte révélateur (sinon provocateur...) de l'écrivain Jacques Piétri au sujet de la journaliste italienne Oriana Fallaci à laquelle l'observation de certaines activités intégristes musulmanes a inspiré des propos jugés « déplacés » par plusieurs :
(...) « Oriana qui était au Liban dans les années quatre-vingt, rappelle, dans la Rage et l'Orgueil, comment se comportait, quand ils se croyaient vainqueurs, les membres des milices musulmanes: «Je les ai vus les fils d'Allah au travail. Je les ai vus détruire les églises, je les ai vus brûler les crucifix, je les ai vus souiller les statues de la Vierge, je les ai vus pisser sur les autels, je les ai vus transformer les autels en chiottes. »

Les mêmes esprits sectaires et mal informés, qui n'ont jamais lu la grande Dame qu'était Oriana Fallaci, ont la naïveté de croire que le règlement de la question Israélo-Palestinienne serait de nature à résoudre le problème de l'Islamisme, en supposant qu'il en soit ainsi dans des délais raisonnables, ce qu'il faut bien entendu souhaiter, peut-on croire un seul instant que les groupements terroristes disparaîtraient comme par enchantement? Peut-on imaginer que partout dans le monde, et surtout en Occident, ils renonceraient à leur meurtrière industrie ? »

Oriana Fallaci était une essayiste et journaliste italienne née le 29 juin 1929 à Florence et décédée le 15 septembre 2006 dans la même ville.
(...)
Pendant des années, Fallaci était envoyée spéciale auprès du magazine d'actualité politique L'Europeo et a écrit pour plusieurs journaux importants dont le Corriere della Sera ainsi que pour le magazine Epoca.

Elle a interviewé de nombreux chefs d'État et personnalités internationales tels qu'Henry Kissinger, le Shah d'Iran, l'Ayatollah Khomeini, Willy Brandt, Lech Wałęsa, Zulfikar Ali Bhutto, Ariel Sharon, Walter Cronkite, le colonel Kadhafi, Federico Fellini, Sammy Davis Jr, Nguyen Cao Ky, Yasser Arafat, Indira Gandhi, Alexandros Panagoulis, l'archevêque Makarios III, Golda Meir, Nguyen Van Thieu, Haile Selassie et Sean Connery.
(...)
Ces dernières années, Oriana Fallaci a reçu une attention médiatique particulière en raison de ses vives critiques de l'Islam. Elle a été particulièrement critiquée par des organisations musulmanes et des partis de gauche, notamment en France.

Après les attentats du 11 septembre 2001, elle adopte une position très ferme contre l'Islam. Son point de vue est précisé dans deux essais, La Rage et l'Orgueil et La Force de la raison.
(...)

« Il y a pire encore: Certains osent qualifier la politique d'Israël de «suicidaire», comme pour justifier à l'avance la réussite éventuelle des projets avoués d'Ahmadinejad de vitrifier Israël et de massacrer plusieurs millions d'Israéliens, ils croient, les salauds doublés d'imbéciles, qu'ainsi ils seraient délivrés de la menace islamiste. Ils n'ont rien compris au film, ce que veulent les Islamo-fascistes, ce n'est pas seulement la destruction d'Israël, c'est, step to step, l'anéantissement de l'Occident, la conquête du monde civilisé.

Deux catégories de règles doivent nous guider dans notre réflexion et surtout dans notre action: D'abord,
on ne doit jamais oublier, que les Musulmans progressistes sont les premiers à nous demander de «tenir bon» sur nos valeurs, de ne faire aucune concession aux intégristes, d'en finir avec la maladie obsessionnelle de l'excuse et de la repentance, ce sont eux qui sont en première ligne, ils sont les seuls à permettre un jour à l'Islam d'évoluer, pour autant que nous en finissions avec la lâcheté et l'aveuglement. Hier, les mêmes esprits pleurnichards et soi-disant pacifiques disaient qu'il ne fallait pas mécontenter Monsieur Hitler, qu'il était dangereux de le critiquer, que se taire était rendre service aux Allemands. Tout le monde connaît aujourd'hui, la phrase célèbre et prémonitoire de Churchill sur «le déshonneur et la guerre» [*]. Renoncer aujourd'hui, par lâcheté et fatuité, à dénoncer le führer iranien n'est pas rendre service aux démocrates de ce pays.
[*]« Churchill est (était) un féroce critique de la politique d'apaisement de Neville Chamberlain envers d'Adolf Hitler et durant discours à la Chambre des communes, il déclare carrément et prophétiquement, « Vous avez le choix entre la guerre et le déshonneur. Vous avez choisi le déshonneur, et vous aurez la guerre. »

Et Piétri poursuit en écrivant ce qui suit qui est assez inacceptable dans les circonstances présentes où Israël détruit la Bande de Gaza et massacre des centaines de personnes avec des moyens totalement disproportionnés devant ceux d'un peuple captif :
« Ensuite, il faut, sans défaillance, soutenir Israël, bastion avancé de l'Occident et de ses valeurs, seule démocratie du Moyen-Orient, le critiquer quand il le faut, comme on critique ses alliés (Il serait sans doute opportun que l'État israélien revoie sérieusement le fonctionnement de son commandement et la fiabilité de son réseau de renseignements). Il faut faire savoir que toute agression contre Israël est une agression envers l'Occident, envers nos libertés, envers notre conception de la démocratie. »

Toute autre attitude serait irresponsable et véritablement suicidaire.»


Jacques Piétri Pour LibertyVox
Jacques Piétri est décédé en avril 2007.

« Jacques Pietri, sans doute un peu visionnaire, mettait en garde depuis des années déjà ses concitoyens contre les dangers de l’islamisation intégriste de la France et la possible résurgence des guerres de religion au 21e siècle.

Voici son dernier texte, inachevé, en cours de rédaction au moment de son décès. Nous vous le livrons comme il nous est parvenu, sans retouches, comme un message posthume, une mise en garde adressée aux vivants.

« L’Islam d’aujourd’hui n’est pas seulement un intégrisme, c’est un totalitarisme, il prend le relais des deux totalitarismes qui ont marqué le 20ème siècle, le communisme et le nazisme. Après le fascisme brun et le fascisme rouge, on est en présence du fascisme vert. L’intégrisme religieux doit être analysé sous le prisme du totalitarisme, système auquel il conduit inéluctablement dès que son triomphe est proclamé.

Le totalitarisme implique la négation de l’individu, seul le groupe, (religieux, politique, racial) existe ; l’individu est nié, ravalé, il est entièrement subordonné à l’intérêt supérieur du groupe. On notera, incidemment que le «libéralisme», qu’il soit radical ou modéré, est exactement le contraire. On sait, en effet, que pour Adam Smith, le père du libéralisme économique, l’individu est au centre de sa réflexion ; après Locke, Montesquieu et bien d’autres, il montre, ce qui est toujours vrai aujourd’hui, que sans liberté économique, il n’y a pas de véritable liberté politique. La France est aujourd’hui, le seul pays européen, où le mot, «libéralisme» est un gros mot.

La règle d’or de l’intégrisme religieux et du totalitarisme est la certitude de détenir la vérité, une vérité univoque, intangible, éternelle, que l’on ne saurait renier sans encourir une punition extrême. L’emprisonnement, la torture, l’extermination, la terreur, sont les instruments habituels du totalitarisme. La coercition ne s’intéresse pas seulement aux corps mais surtout aux esprits : «il est interdit de penser».

La religion se situe, de manière évidente, dans la sphère du privé, et non pas dans celle du public. Toute autre est la conception des théoriciens islamiques contemporains : L’Islam, écrit Hani Ramadan, dans le Bulletin du centre islamique de Genève, « est religion et État, foi et loi, doctrine et mode de vie... il nous enseigne un monothéisme authentique, évident, et aussi une loi qui constitue désormais un système complet reposant sur des sources authentiques applicables en tout lieu et en tout temps».

Un article paru dans un périodique algérien illustre bien ce qu’il en est de la laïcité dans le monde arabe (le mot laïcité étant à peu près intraduisible en arabe) : «L’adage occidental «rendre à César ce qui appartient à César et à Dieu ce qui appartient à Dieu» n’a pas sa place dans la conception islamique de la société. Tout appartient à Dieu et César lui-même appartient à Dieu». L’Islam, comme le rappelait si bien ce folliculaire, «signifie étymologiquement soumission, celle-ci doit être totale et
inconditionnelle à Dieu et à sa foi révélée», c’est bien pourquoi « ne peut rester musulman celui qui s’est converti à la laïcité, cette nouvelle religion qui prône la séparation de la Foi et de la Loi ».»

Jacques Pietri (mars 2007). Source : clic

Or, il faut bien reconnaitre qu'une lecture attentive des grands textes musulmans (références au début) tend à confirmer ces inquiétudes : fondamentalement et normalement, un musulman orthodoxe (de stricte observance) ne peut pas vivre sous une autre loi que la loi musulmane, la Charia.

S'il veut vivre selon la Charia et tous les préceptes de Mahomet, il doit donc tout faire pour qu'elle devienne la seule loi là où il vit. Il doit donc devenir majoritaire ou dominer par la force. L'islamisation du Kosovo en est une des illustrations (voir le site http://www.tlfq.ulaval.ca/axl/europe/kosovo.htm).

Toutefois, il faut bien noter qu'à chaque fois que l'intégrisme religieux a voulu s'imposer, quelle que soit la religion, il y a eu massacres et souffrances au nom de « Dieu », une pure aberration. Par exemple, des soi-disant chrétiens ont massacré des protestants, des cathares, etc. en violant l'enseignement du Christ...

Il faut poursuivre la réflexion et l'étude, et se garder des illusions...

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Voyez les très intéressants documents photographiques et vidéos de :
« La bibliothèque proche-orientale »...:


Hitler est visité par le mufti de Jérusalem

En vidéo... Boualem Sansal:
« L'islamisme se rapproche du nazisme »

Par ObsVideo.com

Grégoire Leménager reçoit le grand écrivain algérien Boualem Sansal, qui publie un roman choc, «Le Village de l'Allemand». Cet ancien haut-fonctionnaire en Algérie, limogé en 2003, n'est pas un auteur politiquement correct.


Et maintenant, un autre côté de la médaille... :

Du sombre prix à payer…
du « sionisme »…

Toujours difficile de rappeler les fondements du sionisme parfaitement illustrés par les phrases de ses pères fondateurs et de ceux qui ont « enraciné » l’Etat d’Israël dans la terreur et le sang… L’Europe courbe la tête pour les raisons que nous connaissons.
Nous reprenons, après le rappel ci-dessous, la réflexion de Rudolf Bkouche, membre de l'UJFP (Union Juive Française pour la Paix) et de l'IJAN (International Jewish AntiZionist Network)
Voir : clic

Autre :

Abandonner le ghetto sioniste :
un livre-bombe d’Abraham Burg

samedi 9 juin 2007, par Alain Gresh

Fils d’un dirigeant historique du Parti national religieux (PNR) et ancien ministre de l’intérieur, Abraham Burg, un juif religieux, n’est pas n’importe qui, explique le journaliste de Haaretz, Ari Shavit, dans un article intitulé « Leaving the Zionist Ghetto » (Abandonner le ghetto sioniste) publié le 9 juin. Il a été, après 1982, proche de Shimon Peres, et l’un des grands espoirs du Parti travailliste. Il a été président de l’Agence juive, président du Parlement et candidat à la direction du Parti travailliste. Il vient de publier un livre en Israël qui provoque un scandale, « Defeating Hitler » (Vaincre Hitler). Voici quelques extraits de son entretien avec Ari Shavit, qui a été outré par les propos de Burg.
Lire la suite : clic

Voir aussi :

François Genoud, nazi par procuration

Par Conan Eric, L'EXPRESS.FR, publié le 25/01/1996

Il a aidé les anciens du IIIe Reich, les nationalistes arabes et le terrorisme international. Journalistes et services secrets lui prêtaient une grande influence. Pierre Péan, qui l'a confessé, nous raconte sa vie dans L'Extrémiste. Et le démythifie.


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« L'homme de bien situe la justice au-dessus de tout.
Un homme de bien qui a la bravoure mais
qui ignore la justice sera un rebelle.
L'homme médiocre qui a la bravoure mais
qui ignore la justice sera un brigand.»

Confucius


On doit aimer son prochain comme soi-même;
ne pas lui faire ce que nous ne voudrions pas qu'il nous fît.

Citations de Confucius


L’abus d’une force finit par créer la destruction de cette force.
Les violences et les crimes passés sont alors
expiés par les fils qui gémissent longtemps
sous le lourd fardeau des iniquités de leurs pères.

Gustave Le BON,
dans « Hier et demain -
Pensées brèves. (1918)

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